Le consentement du patient pour effectuer un test de dépistage peut ne pas être requis dans des situations d’urgence très rares qui réunissent les trois conditions suivantes :
- Un professionnel de santé a subi un accident avec exposition au sang ;
- Le statut sérologique pour le VIH du patient n’est pas connu ;
- Le patient n’a pas exprimé antérieurement de refus d’un test de dépistage ou le patient est dans une situation médicale particulière qui l’empêche de répondre à une proposition de test de dépistage, cette situation pouvant être le coma ou une perte de conscience prolongée.